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prendre sa part de responsabilite

quand il est plus facile d'accuser l'autre !

PRENDRE SA RESPONSABILITE

« Ce n’est pas de ma faute », “j’ai pas voulu cela”, “c’est untel ou untel qui m’a contraint »

Combien de fois avons nous prononcé ces petites phrases assassines.

Ah !! les autres source de maux pour beaucoup d’entre nous !! On se sent victime de l’autre, des autres. Le problème ne vient pas de nous.

Qui n’a pas rêvé de vivre seul.e sur une île déserte sans les autres.Oui mais voilà, ce n’est qu’en se « frottant » à l’autre qu’il nous est possible de nous développer. Cela commence par nos parents, nos éducateurs.  Envisager l’autre comme une source perpétuelle d’approfondissement, de connaissance de soi.

Sans l’autre, point de relation et point de miroir que ce soit dans le travail, la famille, le couple, les amis.

L’autre qui dérange n’est-il le creuset dans lequel nous pouvons puiser une information cachée sur nous ? 

Lorsque nous ne supportons pas telle ou telle facette chez l’autre, il est bien question de la part d’ombre que nous détestons chez nous, ce que nous ne voulons pas voir.

Envisager l’altérité comme une richesse, le lieu d’échange entre deux cartes du monde, qui ouvre sur des paysages nouveaux serait la clé du bonheur.

remercier l'AUTRE

Pourquoi serait-il important de remercier l’autre, les autres pour ce qu’ils nous font vivre, même si cela est difficile, délicat, inconfortable.

Changer notre regard sur l’autre en nous offrant la possibilité de découvrir une zone d’ombre, une terre jusqu’à lors inconnue pour nous nous permet de grandir en maturité, en connaissance, et de fait en conscience.

Imaginez un seul instant après une dispute avec votre conjoint.e lui dire “Je te remercie pour ces mots que j’ai reçus comme blessants, je te remercie pour la blessure que tu as réveillé.e en moi involontairement, car j’ai pu explorer telle part de moi que je connaissais pas, parce que j’ai compris que je n’avais encore totalement intégré telle ou telle relation du passé”.

Pensez à ce moment unique, fragile où l’altérité nous offre une plus grande intériorité. Vous constaterez alors que l’agacement, voire la colère, la tristesse de l’échange sera transmuté en moment de connivence, en relation renforcée.

Remercier l’autre non seulement pour les moments de grâce, de passion, de relations joyeuses et faciles mais aussi dans les moments qui piquent et qui grattent comme un versant caché de la relation à l’autre.

Envisager l’altérité comme une richesse, le lieu d’échange entre deux cartes du monde, qui ouvre sur des paysages nouveaux serait la clé du bonheur.